C’est l’histoire d’une femme qui voulait se faire oublier, et qui se cache dans une petite ville, derrière un petit boulot dans une usine. Personne ne connait son nom. Alors tous l’appellent... Machine. L’usine ferme et le combat commence. Social d’abord. Réel ensuite. Car si Machine se cachait, c’est parce que la guerre elle connait ça mieux que personne. C’était son métier avant.
C’est l’histoire d’une prise de conscience morale et politique. Une femme sans passé et sans identité va trouver une famille, une ligne de conduite. Le combat contre la réaction c’est l’action. C’est ce qu’elle va comprendre en lisant Karl Marx. La lutte pour la dignité de l’humain n’est pas un combat d’arrière-garde. Il peut générer des héroïnes hautes en couleur, modernes et dangereuses. Moins de merguez, plus de mandales !
De l’humour, du spectacle, du suspense, du second degré, et de la réappropriation par le prolétariat de l’outil de production. C’est le programme de Machine.